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Psychologist Session

"ALLER VOIR UN PSY"

En traversant certains carrefours de notre vie, on peut avoir le sentiment d’avoir raté des étapes, d’être coincé(e) par des obstacles, d’être désorienté(e) parmi les possibles.

Ces questionnements intérieurs peuvent occasionner un inconfort, un malaise, une souffrance

à l’intérieur de nous.

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Derrière ce point de blocage se cachent pourtant des opportunités, qui n’attendent qu’une aide extérieure pour pouvoir émerger. L’important, c’est d’en parler.

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Aller consulter un(e) psychologue ? Au fond de vous, vous en avez envie. On vous l'a peut-être aussi conseillé. Pour autant, la démarche n'est pas toujours évidente. L'idée de pousser la porte d'un cabinet de psychologue peut susciter certaines craintes, liées par exemple à la peur de l’inconnu ou du regard des autres. Rassurez-vous : c’est normal.

En réalité, aller voir un psy ce n'est pas grave, ce n'est pas bizarre, ce n'est pas honteux… C'est même plutôt courageux et enrichissant. Pourquoi ? En venant consulter, on appuie sur pause dans notre quotidien pour prendre un temps pour soi. On se remet au premier plan, on se recentre sur soi et on fait le point sur ce qui nous anime. Guidé dans notre réflexion, on prend conscience de toutes nos ressources personnelles, on apprivoise ce qui nous tracasse.

Au fil des séances, on commence à y voir plus clair en soi et autour de soi.

Quand on se sent prêt, on repart plus confiant, équipé(e) d’une boîte à outils sur mesure pour vivre pleinement et plus sereinement les évènements de la vie.

Vers la consultation: À propos de moi
porte

ON SE DIT TOUT

Ce que vous vous demandez peut-être
sur les séances avec un(e) psychologue,
sans jamais avoir osé le demander.

Vers la consultation: À propos de la thérapie

"ALLER VOIR UN PSYCHOLOGUE,

ÇA FAIT MAL"

Quand on décide d'aller consulter, on peut s'imaginer qu'on va passer notre temps à pleurer et qu'on va ressortir en vrac de chaque rendez-vous. Pas de panique, le (la) psychologue est là pour gérer la charge psychologique de la séance, du début à la fin, en fonction de votre ressenti. Effectivement, certains sujets peuvent amener des pleurs, certaines séances peuvent être particulièrement bouleversantes. On est là pour dénouer ce qui coince. Mais on peut aussi le faire avec humour et sans dramatiser à outrance. Il est fréquent (et recommandé) de rire ! De plus, au delà de travailler sur ce qui fait souffrir, on travaille aussi sur nos ressources, sur l'estime de soi. Résultat : on repart plus apaisé(e) et regonflé(e) à bloc !

"UN PSYCHOLOGUE ? PLUS JAMAIS !

TOUS LES MÊMES !"

Vous avez déjà consulté un(e) psychologue et vous en êtes ressorti(e) perplexe ? Agaçé(e) ? Atterré(e) ? Ce n'était peut-être pas le bon moment, ni le (la) bon(ne) psychologue pour vous. Quand on rencontre un(e) psychologue, il est important d'être volontaire dans la démarche et que le courant passe bien. Chaque psychologue a sa propre façon de travailler et chaque personne a des attentes particulières. Il faut trouver chaussure à son pied ! Vous avez le choix. N'hésitez pas à prendre contact avec plusieurs psychologues afin de comparer les approches et de pouvoir déterminer ce qui vous convient le mieux. La première séance permet de faire connaissance et n'engage à rien.

"LES PSYCHOLOGUES

C'EST POUR LES FOUS"

Le terme de "folie" appartient à une époque très lointaine et (heureusement) révolue. On peut considérer qu'il renvoie à ce qu'on appelle aujourd'hui les pathologies mentales, qui relèvent du secteur de la psychiatrie. Les psychiatres sont des médecins. Ils prennent en charge les maladies, ils peuvent prescrire un traitement médicamenteux et une hospitalisation si nécessaire.
Ici, on parle de psychologie. Le (la) psychologue prend en charge le mal-être, une souffrance mentale qui n'est pas une maladie en soi. Chaque personne, dans son parcours de vie, peut être un jour confronté(e) à des difficultés psychologiques, à une lassitude, à un découragement. Avoir recours à un(e) psychologue est finalement devenu assez banal, et il ne faut pas s'en priver.

"JE VAIS M'ALLONGER SUR UN DIVAN, LE PSY VA MARMONNER "MMMH MMMH", EN ÉCRIVANT SA LISTE DE COURSES

SUR SON CARNET"


Les débuts de la psychologie ont été marqués par la prévalence de la psychanalyse, ce qui influence la représentation que l'on a des psychologues. Le divan est traditionnellement réservé aux séances chez les psychanalystes, qui ont une formation particulière. Leur manière de travailler fait l'objet de beaucoup de clichés. Aujourd'hui, la pratique de l'accompagnement psychologique a mille visages. Si certains psychologues sont également psychanalystes, la plupart ont à présent une façon de travailler bien différente. certains vous recevront à leur bureau, ou dans un canapé, ou encore debout pour réaliser certains exercices. Certains écriront des notes (de travail, rassurez-vous) pendant la séance, d'autres non. Certains parleront beaucoup, d'autres un peu moins. Chacun son style ! Poursuivez avec celui qui vous mettra à l'aise.

"LE PSYCHOLOGUE VA TROUVER DES PROBLÈMES LÀ OÙ IL N'Y EN A PAS"

Le (la) psychologue ne prend aucun plaisir à inventer des problèmes et à créer de la souffrance. Au contraire, il (elle) a vocation à permettre un apaisement des tensions déjà présentes, qui ont amené la personne à consulter. Au cours d'une thérapie, il peut arriver que des éléments sensibles, dont on n'avait pas conscience ou qu'on avait mis de côté, remontent à la surface. Ce n'est pas un dégât collatéral, à l'inverse c'est souvent là que le cœur du travail s'engage. Ces problématiques souterraines sont peut-être à la source de notre mal-être, alors qu'on ne le soupçonnait pas.
Votre psychologue mène les investigations avec vous, là où il semble judicieux d'aller chercher, afin de trouver la cause de ce qui vous tracasse et vous permettre de vous sentir mieux. Parfois, il peut même centrer le travail sur le présent et sur le futur, sans trop s'attarder sur le passé.

"J'AI RIEN À RACONTER.

LA PREMIÈRE SÉANCE VA ÊTRE GÊNANTE..."


Lors de la première séance, il arrive de se sentir intimidé(e), pas à sa place, ou sur la défensive. Parfois, on se sent mal mais on ne sait pas trop pourquoi. Parfois, on aurait beaucoup à dire mais on ne sait pas par où commencer.

De manière générale, se confier aussi rapidement et intimement à un(e) inconnue paraît très compliqué.

Finalement, on est surpris(e) de constater que ça paraît assez naturel et qu'on se sent plutôt à l'aise. On avance sans trop savoir comment, mais on se sent avancer. C'est là tout le rôle du (de la) psychologue : sa formation et son approche facilitent l'instauration d'un lien de confiance et guident la progression dans le travail sur soi.

"POUR PARLER,

ON A LES AMIS"

Il est important de pouvoir compter sur le soutien de notre entourage quand on rencontre des soucis.
Néanmoins, face à certaines difficultés, l'aide de nos proches peut ne pas suffire ou ne pas être la plus appropriée. Pourquoi ? Malgré leur bonne volonté, ils ne sont pas forcément les mieux placés pour nous aider. Ceux qui nous côtoient au quotidien n'ont pas toujours suffisamment de recul sur ce qu'on vit. Ils ne sont pas forcément équipés pour pouvoir recevoir la souffrance et y répondre sans maladresse, avec les mots justes. En plus, on n'ose pas toujours tout leur dire, parce qu'ils sont concernés aussi par nos problèmes ou parce qu'on ne veut pas peser sur eux. On peut aussi se renfermer à cause d'un sentiment de honte et de culpabilité.
Dans ce cas, on a besoin d'un regard extérieur, neutre, sans jugement, formé à l'écoute, à l'analyse des problèmes rencontrés et apte à proposer des solutions. Avec un(e) psychologue, on peut se livrer sans filtre et trouver la meilleure façon d'aller mieux.

"UN SUIVI PSY

DURE FORCEMENT DES ANNÉES"

Pour certaines personnes et pour certains professionnels, oui, la thérapie peut durer des années. Néanmoins, ce n'est pas du tout une règle établie ! Au contraire, de plus en plus de techniques se développent actuellement, en faveur de thérapies dites "brèves".


Chaque personne avance à son propre rythme, il est fondamental pour le (la) psychologue de le respecter.

En fonction de vos attentes, de votre problématique, de votre manière de fonctionner et de celle de votre psychologue, la durée de l'accompagnement sera très variable.

Pour certains, un maximum de quelques séances sera adapté, pour d'autres, un suivi plus long sera nécessaire.

Ce qui est certain, c'est qu'on peut avoir plusieurs périodes de suivi psy dans sa vie. On peut se sentir mieux pendant un temps, puis connaître à nouveau un moment de fragilité. Dans ce cas, il ne faut pas hésiter à pousser de nouveau la porte d'un cabinet.

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Vers la consultation: Liste
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